Témoignages

« Depuis toute petite, les Indiens m’ont passionnée. Heureusement, aujourd’hui, ils ont gardé leur culture. J’ai un jour chez moi, reçu un courrier de l’association, j’ai tout de suite adhéré. Bravo pour le travail que vous faites. »
C. K.

« Depuis 5 ans que je connais votre belle œuvre quel bonheur de vous rencontrer ! De voir des photos de ces enfants qui retrouvent la joie de vivre et confiance en leur avenir grâce au dévouement et à l’amour de St Joseph du Dakota. Mille Merci!
B. C.

« Je suis heureuse d’avoir eu ce matin beaucoup d’explication sur votre organisation. J’essayerai de les divulguer à tous mes amis. Merci à vous bon courage et surtout bonne santé à tous pour continuer votre belle œuvre. »
Christiane Vaghi

« Bravo, et merci à toutes les personnes qui œuvrent pour l’évolution et le bien-être des enfants de St Joseph. C’est à ce titre que nous participons financièrement. »
M.E.

« Comment ne pas s’intéresser à tout ce qui porte une trace des Indiens d’Amérique, quand on a soi-même, une trace même infime, de ces Indiens, fussent-ils du centre de l’Amérique immense continent, découvert bien tardivement par les Européens… »

« J’ai tendance à croire que dans la vie, il y a peu de coïncidences », dit David, l’un de nos bienfaiteurs. J’ai perdu ma femme en mai 2008, après vingt-cinq ans de mariage. J’ai traversé une période terrible. Il n’y avait plus que le chat et moi à la maison. » Donateur pour Saint Joseph, il retrouve l’espoir grâce à un attrape-rêves. Un jour, David reçoit l’attrape-rêves offert par l’école Saint Joseph pour enfants amérindiens. C’est alors que sa vie se transforme radicalement. « Deux semaines plus tard, j’ai reçu une lettre de ma fille, qui me disait qu’elle voulait me retrouver. Voilà plus de quinze ans que nous nous étions perdus de vue. » David accepte l’invitation de sa fille à un repas de famille. À l’approche des fêtes de fin d’année, il s’apprête à la rejoindre, ainsi que sa belle-famille, pour la fête de Thanksgiving.

« Cela a été le jour le plus merveilleux », se souvient David. « Mon gendre et sa famille sont des gens charmants, et j’étais fou de joie d’avoir retrouvé ma fille. »
Peu de temps après ces retrouvailles, David a été victime d’une attaque cérébrale. « Ma fille a pris soin de moi pendant tout ce temps. Je ne sais pas ce que je serais devenu sans elle. Je ne sais pas comment expliquer cela, mais à partir du moment où j’ai accroché l’attrape-rêves, ma vie a changé. » Vos dons peuvent changer la vie des enfants lakotas en détresse. Nos petits pensionnaires de l’école Saint Joseph pour enfants amérindiens ont foi en la bonté de nos bienfaiteurs dans le monde entier.